Exemple d'un rachat de crédit




Monsieur et madame Dupuis, propriétaires de leur logement ont emprunté auprès de 5 établissements de crédit.

Le montant total à rembourser est de 68782.15 €, frais inclus pour l'ensemble de leurs crédits.

Ils versent 1127.32 €/mois pour l'ensemble leurs crédits

Après le rachat de credit, leur mensualité s'élève à:

--> rachat crédit sur 15 ans : 507.05 €/mois(taux de crédit 3.55% H.A, fixe 1 an, ensuite euribor 3 mois, mensualités constantes pendant toute la durée du crédit)

Soit une baisse mensuelle des remboursements de 620,27 €

-->rachat crédit sur 12 ans : 600,54 €/mois(taux de crédit 3.55% H.A, fixe 1 an, ensuite euribor 3 mois, mensualités constantes pendant toute la durée du crédit)
Soit une baisse mensuelle des remboursements de 526,78 €

Valoriser son capital

De multiples solutions d'investissement existent. Voici des placements accessibles à tout portefeuille.

» Les livrets et super-livrets bancaires.

Ce type de contrats constituent des placements de précaution très utiles pour rentabiliser sa trésorerie. Leurs rendement n'est pas imposable. Ils sont conseillés et recommandés pour tous les patrimoines et doivent servir de réserve pour pallier les imprévus. Le Livret d'Epargne Populaire est particulièrement intéressant. Sa rentabilité est de 3 % et son épargne disponible à tout moment.

» Les OAT et les Sicav monétaires.:

Les Obligations Assimilables au Trésor représente un placement sans risque. Simplement, il s'agit d'obligations émises par l'Etat français ou d'autres Etats à travers le monde pour se financer. Les Sicav monétaires sont quant à elles des fonds entièrement composées d'OAT et d'obligations de sociétés. Leurs rendements sont certains et connus à l'avance.

» L'immobilier locatif.

L'immobilier reste le meilleur placement pour se créer un patrimoine et accroître son capital grâce à l'effet de levier du crédit. Grâce à l'emprunt, il est un moyen d'investir une grosse somme pour un bien, appartement ou maison, qui se bonifie en moyenne de 5 % par an. L'achat pour louer s'autofinance pour une large part avec la perceptions des loyers. La rentabilité moyenne d'une location se situe en 8 et 10 % par an.


» L'assurance vie.

Elle constitue principalement un placement d'épargne retraite et un outil de succession. L'assurance vie peut également être un outil d'épargne très dynamique. Son principal avantage est de pouvoir investir sur un même contrat dans plusieurs fonds boursiers, dits supports. L'idéal est de privilégier un fonds en euros, donc sécurisé, et un fonds en actions plus rentable. L'assurance vie allie donc rentabilité et sécurité.


» L'immobilier défiscalisant.

Il est particulièrement usité ces derniers temps grâce aux dispositifs Robien et Borloo. Mais de multiples autres opportunités existent, telles les lois Malraux sur les monuments historiques ou De Messine sur l'achat en résidence de tourisme. D'une manière générale, ces mécanismes fiscaux servent à financer l'achat immobilier grâce à ces réductions d'impôts.


» Les fonds profilés.

Ce sont des fonds diversifiés, gérés par des gestionnaires de portefeuilles selon un niveau de risque fixé par les investisseurs. Il existe trois grands types de stratégies: prudente, équilibrée et dynamique. Mais on peut noter aussi l'existence de fonds défensifs et offensifs, ainsi que les fonds euros moyen-terme et action France et Zone euro. L'optique prudence rapporte 7,19 % par an en moyenne. La stratégie équilibrée monte à 9,30 % et la stratégie dynamique rapporte 10,64 %. La gestion offensive s'apprécie de 11,82 % par an et les fonds actions France et Zone euro respectivement de 14,81 % et 14,32 %. Ceux-ci se déchargent de la gestion sur le gestionnaire, qui a pour mission de choisir les actifs ou les pourcentages d'allocation d'actifs en raison de la stratégie re risque choisie par l'investisseur. L'avantage est donc de profiter des avantages de la Bourse en laissant faire les professionnels.

» Les SCPI et les OPCI.

Les Sociétés civiles de placement dans l'immobilier et les Organismes de placement collectifs dans l'immobilier sont ce que l'on appelle de la "pierre papier"; c'est-à-dire des fonds boursiers qui investissent leur capital dans l'immobilier d'habitation ou de bureau. Ils permettent aux épargnants d'investir dans l'immobilier avec une faible mise de départ, tout en obtenant des revenus réguliers tout comme une location mais sans subir les contraintes de cette mise en location.


» L'investissement boursier.

Actions, rackers, warrants ou options, l'investissement boursier est sans nul doute l'investissement le plus risqué. Mais il est également le plus rentable. Les actions les plus performantes peuvent prendre plus de 200 % en un an et les meilleurs OPCVM peuvent aller jusqu'à plus de 60 %. Entre rentabilité et risque, l'idéal est de posséder une part d'à peu près 10 % de son patrimoine à la Bourse, ce qui limite le risque et permet de dynamiser rapidement son patrimoine.

Le crédit à taux révisable

Le crédit à taux révisable


Le crédit à taux révisable ou crédit à taux variable est un crédit dont le taux d'intérêt évolue (ou peut évoluer) avec le temps (en général à date anniversaire), selon les modalités du contrat. Ce changement de taux entraîne l'ajustement de la mensualité pour conserver la durée de remboursement. Mais le crédit peut aussi, suivant ses modalités, modifier la durée de remboursement, ou, à la fois la mensualité et la durée.


L'indice de référence


Le taux d'intérêt est déterminé à partir d'un indice de référence auquel est ajoutée une marge qui est fixe sur toute la durée du crédit. Bien entendu, suivant votre profil d'emprunteur, votre banquier appliquera une marge plus ou moins grande.
L'indice de référence le plus couramment utilisé, depuis le passage à l'euro, est l'EURIBOR (Euro Interbank Offered Rate) C'est le taux de l'argent à court terme pratiqué entre les banques de la zone euro. On trouve principalement deux variantes : l'Euribor à 3 mois et l'Euribor à 12 mois. Cet indice est aussi dénommé TIBEUR dans sa traduction francophone (Taux Interbancaire Offert en Euros) et a remplacé les indices utilisés précédemment, le PIBOR (Paris Interbank Offered Rate) ou TIOP (Taux Interbancaire Offert à Paris).

D'autres indices peuvent aussi être utilisés : l'EONIA, le TME (Taux moyen des emprunts d'états), ...



Qu'est ce que le crédit révolving?




Le crédit revolving, appelé également "crédit permanent " ou "crédit renouvelable", se présente comme une réserve d'argent permanente, accessible à tout moment, qui se renouvelle partiellement au fil des remboursements.
Le montant mit à disposition est déterminé en fonction des besoins ainsi que de la capacité de remboursement et, dans la plupart des cas, il est possible de l'utiliser librement grâce à une carte de crédit associée à ce type d'avance. Les banques ne sont d'ailleurs pas les seules à distribuer ce type de crédit que l'on trouve aussi généralement attaché à la carte privative proposée par de nombreuses enseignes de la grande distribution.

LE CREDIT A LA CREATION D'ENTREPRISE

Bénéficiaires

Personnes physiques ou morales en phase de création (N° SIREN attribué) ou PME créées depuis moins de 3 ans, quel que soit leur secteur d’activité et n’ayant pas encore bénéficié d’un financement (égal ou supérieur à 2 ans). Les entrepreneurs ne peuvent être déjà installés dans une autre affaire ou contrôler une autre société.

Finalité

Financer les besoins immatériels de l'entreprise en création.

Dépenses financées

La trésorerie de départ, les investissements immatériels tels que les frais commerciaux, publicité, et les aléas de démarrage

Modalités d'intervention

Prêt sans garantie ni caution personnelle de 2 000 à 7 000 €, d’une durée de 5 ans avec 6 mois de différé d’amortissement du capital et de paiement des intérêts. Il est accompagné systématiquement d'un concours bancaire (financement du matériel, véhicule....) de plus de 2 ans et d'un montant équivalent au double de celui-ci.
Dans les ZUS et les DOM, le montant du concours bancaire peut-être simplement équivallent à celui du PCE.




10 Conseils pour devenir un bon trader.




1. Jouer la tendance

La régle principale pour trader sur le forex, mais aussi sur tous les marchés. En effet, pourquoi toujours chercher à jouer le retournement, il est vrai que les arbres ne montent pas jusqu'au ciel, mais comment connaître le moment déclencheur qui changera la tendance? De ce fait, il semble bien plus raisonnable d'intégrer la tendance. Dans un marché haussier, achetez les retracements. Dans un marché baissier, vendez les rebonds.

2. Le Forex, un marché comme les autres

Pourquoi ne pas spéculer sur le Forex comme sur les autres marchés? Le mystére du marché des changes... Les brokers offrent à leurs clients un levier de 50 à 200, résultat: les cambistes spéculent sur du très court terme avec un levier important, énorme... Pourquoi? Pourquoi ne pas utiliser un faible levier afin de faire du swing trading, jouer sur le moyen, long terme afin de gagner 100, 500, ou même 1 000 pips!!! Mettre un stop à 100 pips et remonter le stop lorsque la position est gagnante... Certains traders vont lire ces mots et se dire à juste titre: "oui, mais je ne veux pas payer le swap", mais pourquoi? Le swap sur une position de 10k est d'environ 1 pip (cela dépend bien entendu des paires), c'est à dire 1$. Sur une position ouverte depuis 1 mois, cela vous couterait (ou vous ferait gagner) 30$, qu'est-ce que 30$ sur un mouvement de 300 pips ou plus? De plus, jouer sur le moyen, long terme permet de garder une position, les day traders payent le spread plusieurs fois dans une même journée, alors que le trader ayant un horizon de long terme ne paye s'il ne garde qu'une position qu'une seule fois le spread ainsi que le swap. Le swap ayant un coût inférieur au spread, il n'est pas plus, même moins coûteux de spéculer sur le moyen, long terme.

3. Laisser courir ses bénéfices et couper ses pertes

Lorsque vous êtes dans la tendance, n'hésitez pas à laisser courir vos gains. N'ayez pas peur de payer le swap, tous les jours, remontez votre stop afin d'être sûr que votre position soit gagnante, ne laissez pas une position gagnante devenir perdante. Laissez un peu d'air à votre position avec un stop à environ 100 pips. Lorsque vous prenez une position sur le marché, il est important de fixer un stop. Des annonces inattendues peuvent perturber, voir inverser les tendances, il est donc important de protéger son capital contre ces mouvements.

4. Ne pas faire de moyenne à la baisse

Pas de pyramidage à la baisse! Un trade perdant doit être accepté par le trader, le trader ne doit pas augmenter la taille d'une position déjà perdante. Cela n'a qu'un effet, multiplier ses pertes. Le pyramidage doit être effectué uniquement lorsqu'un trade est gagnant.

5. Pas de trade impulsif

Une position doit toujours être prise après réflexion. Le trader ne doit pas prendre position juste après avoir lu un article, vu une émission de télévision ou encore en voyant le marché bougé. Ces étapes peuvent précéder une prise de position, mais ne doivent en aucun cas être l'élément déclencheur de la prise de position. Un reflexion personnelle doit accompagner cette prise de décision.

6. Etre attentif au calendrier économique

Chaque semaine, de nombreuses annonces viennent perturber la tendance majeure des marchés, il est donc indispensable de se tenir au courant des nouvelles et statistiques impactant de manière significative le marché des changes. Ces nouvelles peuvent être : les chiffres sur le chômage, les indices de consommation, les interventions des directeurs des banques centrales... Le trader doit tenir compte de ses annonces ainsi que de l'actualité internationale afin d'être au plus près des fluctuations du marché.

7. Savoir stopper le trading après un gain ou une perte

Après quelques trades gagnants ou perdants durant la même journée, le trader doit avoir la capacité de stopper sa journée de trading. En effet deux situations peuvent se produire. Suite à une succession de plusieurs trades gagnants, l'exaltation peut inciter le trader à toujours gagner plus et à enchaîner les trades, malheureusement, cette exaltation entraîne généralement une prise de position moins réfléchie qui entraîne quelques trades perdants. Un schéma quasiment identique se reproduit lorsque le trader accuse une succession de trades perdants, en effet le trader veut absolument se refaire et enchaîne des trades avec un montant supérieur. Ces prises de position impulsives et non réfléchies causent la perte du trader car elles entament généralement de manière significative le capital du trader.

8. Ne pas déplacer ses stops loss

Lorsque le trader a une position perdante, il ne doit absolument pas déplacer son stop loss sous peine d'augmenter significativement ses pertes. En effet, le stop ne doit pas être déplacé car il est là pour montrer au trader que son analyse n'a pas été vérifiée, le trader doit accepter qu'il n'a pas toujours raison. Un des éléments primordial du trading pour le trader est l'acceptation des pertes.

9. Utiliser le money management

L'outil le plus important du trader. Celui-ci doit être appliqué à la lettre par le trader. Un des éléments essentiels du money management est le montant des transactions, en effet celui-ci ne doit excéder un montant précis fixé lors de la mise en place du money management. Le montant d'une transaction est généralement fixé à 1/10 du capital, ce montant permet de pouvoir appliquer la méthode du pyramidage ou d'effectuer des transactions sur d'autres paires.

10. Savoir se remettre en question

Le trader doit avoir la capacité de revenir sur ses erreurs en les analysant. L'objectif est de revenir sur les positions perdantes afin de comprendre pourquoi la prise de position était mauvaise et ne plus refaire les mêmes erreurs... Le trader doit se remettre en question en s'analysant, il ne doit pas rejeter la faute sur des éléménts extérieurs. Il est le seul à faire le choix final lors de la prise de position, c'est donc à lui de comprendre ses erreurs.


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